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À mon cher frère Alfred qui, près des grands peupliers verts, pointus comme des clochers d’église, laboure et ensemence de ses mains le champ paternel, je dédie ces pages…
Albert LABERGE.
À mon cher frère Alfred qui, près des grands peupliers verts, pointus comme des clochers d’église, laboure et ensemence de ses mains le champ paternel, je dédie ces pages…