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Poitrinas.
En voilà… Attendez… je vais à mon tour…
Il lui emmaillote le doigt.
Caboussat, à part, agitant son doigt emmailloté.
Ça y est !… je suis sauvé !
Poitrinas, agitant aussi son doigt.
C’est désolant… Enfin, j’écrirai demain.
Caboussat.
Voulez-vous que j’appelle ma fille ? Elle rédige comme Noël et Chapsal.
Poitrinas, soupirant.
Ah ! vous êtes un heureux père, vous ! Croyez-vous qu’elle consente à accepter mon fils ?
Caboussat.
Pourquoi pas ?
Poitrinas.
Excusez-moi… c’est un petit détail de ménage… mais je désirerais avoir une prompte réponse… parce qu’il y a, sur le cours, à Etampes, une maison charmante qui sera libre à la Toussaint…
Caboussat.
Eh bien ?
Poitrinas.
Je la louerais pour le jeune ménage.
Caboussat.
Comment ! ma fille habiterait Etampes ?
Poitrinas.
Sans doute : la femme suit son mari.
Caboussat, à part.
Ah ! mais non ! ça ne me va pas ! mon orthographe