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LÉONCE, ému.
Oh ! oui !… et qui vous aime… qui vous respecte comme le meilleur, le plus doux, le plus irrésistible des pères !
Ils s’embrassent.
FRANÇOIS, à part.
Je la connais, celle-là !… ça me crispe !… (Haut.) Où est ma chambre ?
BLANDINET.
Toujours la même… près de mon cabinet.
FRANÇOIS, prenant sa valise, à Tiburce.
Tu dîneras avec moi… nous passerons la soirée ensemble.
TIBURCE, à part.
Ah ! quel ennui !
FRANÇOIS.
Quoi ?
TIBURCE.
C’est que… j’ai ce soir une leçon… très-importante !
FRANÇOIS.
Très-bien… je dînerai avec ton oncle… et j’irai te voir demain… faire connaissance avec ton mobilier. Maintenant, je t’ai vu… tu vas bien… file à tes affaires !
TIBURCE.
Adieu, papa… mon oncle… Léonce… (Bas, à Léonce.) Hein ! est-il embêtant, papa ?
Il sort.
FRANÇOIS, à part, regardant sortir Tiburce.
Voilà comme je comprends les enfants.
Il sort par la gauche, deuxième plan.