Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 02.djvu/521

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Lucile.

Mon cousin…

Horace.

Allons, monsieur Désambois, le bras à ma tante.

Désambois.

Mais…

Horace.

Oh ! ne craignez rien… je passe le premier.

Il va au fond offrir son bras à Lucile.

Désambois, à part.

Cet homme n’a pas de sang dans les veines !

Il donne le bras à madame de Guy.

RIDEAU