Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 04.djvu/464

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D’une union que j’ai maudite,
Messieurs, je bénirai le fruit,
Si ce soir, par votre crédit,
Un franc succès vient à la suite
Des suites de mon premier lit.

Tous <poem> Qu’un franc succès vienne à la suite Des suites de son premier lit. <poem>

RIDEAU