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VOUZON, à part.
Ça déjeune avec du thé !… quelle génération !
MAURICE.
Il faut que je sorte… Je vais passer mon habit… Adieu ! docteur.
VOUZON.
Adieu ! nous nous reverrons.
Maurice entre à droite.
MADAME DÉSARNAUX, qui a regardé sortir Maurice, revenant vivement à Vouzon.
Eh bien, docteur… vous avez causé avec lui… que vous a-t-il dit ? Est-ce grave ?
VOUZON.
Non… Cela ne sera rien…
MADAME DÉSARNAUX.
Voulez-vous du papier… de l’encre ?
VOUZON.
Pourquoi ?
MADAME DÉSARNAUX.
Pour votre ordonnance.
VOUZON, passant derrière elle.
Inutile !… Maurice a besoin de changer d’air, de quitter Paris… Faites-le voyager… Tenez ! menez-le en Italie !
MADAME DÉSARNAUX, effrayée.
Ah ! mon Dieu !… la poitrine ?
VOUZON.
Mais non !… Il n’est pas malade.
MADAME DÉSARNAUX.
Mais alors… ce que vous me disiez ce matin… il a sa crise… Une passion ?