Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 05.djvu/403

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François, à Mandolina, bas.

Je vais lui demander ce qu’il pense… en russe. (À Bidonneau.) Shouya papatof ventrikoff éléonor.

Bidonneau.

Eléonore.

François, à part.

Je ne sais pas si celui-là est russe ?

Bidonneau, étonné.

Qu’est-ce que vous dites ?

François, à Bidonneau.

Parle-moi donc russe, imbécile…

Bidonneau, bas.

Ah ! bien ! tout à l’heure c’était l’anglais… Si on change de langue à chaque instant… (Haut.) Kébir manékir, Bérésina Soulakof.

François, à Mandolina.

Soulakof ! il est enchanté !…

Mandolina.

Ah ! général !

François.

Il vous offre quinze mille roubles pour la première année…

Mandolina.

Ah ! c’est bien peu…

Bidonneau.

Pas un sou de plus !

François.

Trois bénéfices, n’est-ce pas, général ?