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Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 05.djvu/465

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Isidore.

Et nous avons pensé, Fernande et moi… que vous pourriez peut-être…

Pénuri.

Quoi ?

Isidore.

Remplacer cette dot qu’on refuse.

Pénuri.

Moi ? pourquoi cela ?

Isidore, riant et finement.

Dame ! c’est bien le moins.

Pénuri.

Moi, j’ai déjà donné treize mille cinq cent cinq francs et des vers.

Isidore.

Oh ! qu’est-ce que c’est que ça ?

Pénuri.

Comment ! ce que c’est que ça ? (À part.) Oh ! il est carottier, ce petit !

Isidore.

Voyons, papa Pénuri, un bon mouvement.

Pénuri, passant.

Fichez-moi la paix !

Isidore.

Interrogez votre cœur… vos souvenirs… pensez à cette pauvre enfant.

Pénuri.

Tenez ! je donnerai les ronds de serviette… les voici… mais ne me demandez plus rien !