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Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 06.djvu/264

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POTFLEURY.

Un gilet blanc et des breloques… très-bien !…

DUTILLET, à Octave.

Voici l’orchestre… venez !

OCTAVE.

Tout de suite.(À son père.) Dites donc… il est inutile de lui dire qu’on doit percer une rue…

POTFLEURY.

Parbleu ! sois donc tranquille.

Octave et Dutillet sortent.

Scène V.

POTFLEURY, puis CADET, puis GREFFÉ.
POTFLEURY, seul.

Il est canaille, mon fils !

Cadet entre avec un plateau de rafraîchissements ; il tient toujours le paletot de son maître.
CADET.

Sapristi ! ce paletot me gêne bien !

POTFLEURY, regardant à droite.

La partie n’est pas encore finie… il regarde toujours.

CADET, offrant des rafraîchissements.

Monsieur boit-il ?

POTFLEURY, le reconnaissant.

Tiens !

CADET, de même.

Tiens !