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Tous, riant par complaisance.
Ah ! ah !… c’est charmant !
Balissan.
C’est une bien bonne histoire !
Bougnol, posant son verre sur la table.
C’est à mettre dans le journal !
Clampinais, à Bougnol.
Tenez, je vous aime, vous !… vous êtes une bonne pâte !… et si jamais vous avez besoin d’un ami… (Lui serrant la main.) Voilà !… Mais vous avez à causer avec le cousin, je vous laisse. (À part.) La gavalerie va donner.
Il s’esquive.
Bougnol, à Chalandard.
Ah !… tu as à causer avec moi ?
Chalandard.
Moi ? non… c’est le professeur.
Balissan.
Hein ?
Chalandard.
Mais si jamais tu as besoin d’un ami… (Lui serrant la main.) Voilà !… (À part.) Je vais rôder du côté des pétunias.
Il s’esquive.
Bougnol, à Balissan.
Vous avez à me parler ?
Balissan, embarrassé.
Moi ?… c’est-à-dire… monsieur, il fait une matinée splendide… splendide ! Mais si jamais vous avez besoin d’un ami… (Lui serrant la main.) Voilà !…
Il file.