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question de temps. Du reste, je ne me plains pas ; ma position est indépendante. On marche, on court, on fait de l’exercice. Tenez, ce matin, je me suis présenté chez tous vos amis pour les assurer.
Courtin.
Comment ! vous avez osé ?…
Vatinelle.
Ah ! Dumirail a été charmant ! Il m’a fait gagner vingt-huit francs.
Courtin.
Mais vous nous déshonorez.
Vatinelle.
Vingt-huit francs n’ont jamais déshonoré personne.
Amélie.
Et ce M. Desbrazures ?
Courtin.
Oui, ce Desbrazures que nous venons d’accabler de politesses.
Vatinelle.
C’est mon collègue !
Courtin.
Un petit coureur d’assurances !
Vatinelle.
C’est un homme très solide… Et une écriture ! Il moule ses polices… (À Courtin, confidentiellement.) Dites donc, ménagez-le.
Courtin.
Eh monsieur !…
Vatinelle.
Il me fera avoir une gratification de cent cinquante francs au jour de l’an.