Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 08.djvu/247

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Alidor et Mouillebec, à part.

Le beau-père !

Mouillebec, à part.

Voilà son moyen ingénieux !

Alidor, étonné, bas à Montdésir.

Tiens !… vous avez donc perdu quelqu’un, que vous êtes en deuil ? (Il veut l’embrasser.) Embrassons-nous !…

Montdésir, le repoussant, bas.

Prends garde !… je ne suis pas sec !

Track, à Montdésir.

Ah ! je suis bien heureux de t’avoir sous la main, va !

Montdésir, imitant le nègre.

Baï-bo… baï-bo !…

Rosa, lorgnant Montdésir.

Est-il possible d’être laid comme ça !

Track, à Montdésir.

Approche ici, toi !

Montdésir, passant près de lui.

Bon maître à moi…

Track.

Tu me conviens… je t’arrête !

Mouillebec, bas à Alidor.

Cet animal-là prend toute la famille à son service…

Track, à Montdésir.

Mais je te préviens que, lorsque j’aurai à me plaindre de ces deux blancs ou de Madame… comme il faut que je me soulage… c’est sur toi que je taperai !

Il fait siffler sa cravache.