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Tous, se levant.
Ah ! ah ! ah !…
Criqueville.
J’ai tout vendu !
Bartavelle.
Ah bah !… c’est à merveille ! vous allez prendre ma voiture.
Criqueville.
C’est que je ne sais…
Bartavelle.
Allons donc ! des façons !… je me brouille !…
Criqueville.
Diable d’homme !… Allons, j’accepte !
Bartavelle.
À la bonne heure ! Je vais dire à mon cocher de se tenir à votre disposition.
Criqueville, à part.
Me voilà logé.
Montdouillard.
Deux heures ! nom d’un petit Mouzaïa !
Arthur.
Qu’est-ce que c’est que ça ?
Montdouillard.
C’est un juron industriel… que j’ai inventé un jour où j’ai perdu cinq mille francs sur les mines… Adieu, mes bibi !… À propos, j’ai rendez-vous ici à quatre heures avec Flavigny… Si vous le voyez, priez-le de m’attendre…
Arthur.
Ca se trouve bien… j’ai quelque chose à lui demander… une place pour un de mes amis…