Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 09.djvu/446

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Madame Pérugin.

En vérité, je ne sais plus ce que je vous ai dit… j’avais ma migraine…

Pérugin.

Caroline était souffrante… ne parlons plus de ça… (Désignant le rouleau.) Ah ! vous vous êtes occupé de nous… pour le kiosque ?

Jules.

Oui, j’ai essayé un petit plan. (le développant sur la table à gauche.) Je ne sais s’il aura votre approbation… et surtout celle de Madame.

Madame Pérugin, bas à son mari.

Il est encore piqué… Envoyez-moi Lucie !

Pérugin.

Tout de suite !

il disparaît un instant.

Madame Pérugin.

Oh ! c’est charmant !… mais vous savez, Pérugin et moi, nous n’entendons pas grand-chose à toutes ces petites lignes grises et rouges.

Jules.

Je vais vous les expliquer.

Madame Pérugin.

Non… ma fille va venir… elle connaît le dessin… et vous examinerez ensemble.

Jules.

Oh ! bien volontiers.

Lucie entre, suivie de Pérugin.

Lucie.

Tu me demandes, maman ?