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Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 09.djvu/489

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Maurice.

Quel contrat ?…

Duplan.

Le tien, parbleu !

Maurice.

Comment ?…

Duplan.

Hier, ne m’as-tu pas fait demander la main de la demoiselle ?…

Maurice, embarrassé.

Oui… mais…

Duplan.

J’ai pris des notes… et, en ma qualité d’ancien notaire, je l’ai rédigé ce matin… (Tirant un papier de sa poche.) Tiens, le voici…

Maurice.

Allons, bon !… mais vous allez trop vite ! Qu’est-ce qui nous presse ?

Duplan.

Mais l’amour…

Maurice.

Non… c’est changé !…

Duplan, bondissant.

Hein ?… qu’est-ce que tu dis là ?…

Maurice.

Hier, en vous quittant, j’ai été assez heureux pour rejoindre la famille Carbonel au chemin de fer…

Duplan.

Oui.