Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 10.djvu/114

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Martin.

Bien entendu.

Agénor.

J’accepte !

Martin, à part.

Si tous les maris trompés agissaient avec cette rigueur, on verrait moins de scandales dans les familles.

Agénor.

Mais, à cette condition… vous me pardonnez, monsieur ?

Martin.

Peut-être, monsieur. (Emu.) Mais nous ne devons plus nous revoir…

Il se dirige vers sa chambre, à droite, premier plan.

Agénor.

Oh !… jamais ?

Martin.

Jamais !… les préjugés du monde nous séparent ! Adieu, monsieur, nous nous sommes vus pour la dernière fois.

Agénor, suppliant.

Ferdinand !

Martin.

Pour la dernière fois !