Fulbert ?
Oh ! non ! mais je ne sais pas si au choix…
Le reste est donc bien terrible ?
Mon Dieu, ça n’a l’air de rien… As-tu vu aux Français le Supplice d’une femme ?
Oui, une femme qui n’aime plus son amant et qui se remet à aimer son mari.
Retourne la chose et tu as le supplice d’un homme. (Allant à la cheminée.) Un amant qui se met à aimer le mari et à ne plus aimer la femme.
Que c’est bête ! Il n’a qu’à la lâcher.
Si tu crois que c’est facile, de lâcher une femme romanesque !
Ca ne m’a jamais gêné.
Comment t’y prenais-tu ?
Très simplement. Je portais alors un léger gazon, car j’étais déjà chauve ; au moment le plus… lyrique, j’ôtais ma perruque, la petite me flanquait à la porte en m’appelant : "Vieux déplumé !…" et bonsoir !… libéré !…