Page:Lacaussade - Poésies, t2, 1897.djvu/46

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Quand vous me regardez, j’hésite, et sur mon âme
Comme un vent d’été passe une haleine de flamme ;
Et je sens dans mon cœur, je sens qu’il serait doux
De vivre et de mourir, jeune ange, à vos genoux ! »