Page:Lacombe - Dictionnaire de la langue romane - 1767.djvu/11

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AB ABANGUJ, petite monnoie, moindre que la maillt~ A a &llll!. , Noze abarrc:, noix cc:rneufe. ABAtUtER, em~c:her l'effet, s'oppofer à quelque cbofe commencée. ABAR.ROT, outil de Tonnelier, vrille ou forer. AaASTA , fuffire , convenir. ABASTONNi , armé d'un bâton. ADATLJGNE, vifite d'un pourceau pour voir s'il n'dl pas ladre , & le droit dû au fcigneur pour cette vifite. Yoyt{ M. Carptmitr. 1 ABATTRE en une terre (s'), c'ef\ s'emparer de la terre. ABAUBI , étonné, effrayé. AIAUBIS , tOUt 'tonné. AsÉ • avoir, donc, hé bien. AsÉuNcE , Droit en abéiance , c'ef\ un droit qui dl fufpend11. / AllE LANO, Avelane, amande qui a la coque tendre. Aleï m~ns abelanos : c'cl\ · A· dire, les mains lui demangeD& de frapper quelqu'un. Ptll4t. Aai!Lill , plaire, être agréable à quelqu'un. ABENGB, petite monnoie , moindre que la maille. AaENSTE , qui cf\ obligé de s'abfcnte'l'. Anou !lA c.&'OitUN, faire accroire quelque menfonge à quelqu'un. ABEllMA, diminuer, amoindrir. ABElliT, gaillard, éveillé. AsESTill , traiter quelqu'un avec mépris. ABET, rufe, finetTe, fraude. ABET , fapin , abÎtl. A BETS , la baie: ou coffe du grain. AsETTEll, inciter, animer. ABEUllA, abreuver un cheval. ABEUllADOU, abreuvoir, lliJUIItÎUIII.