Page:Lacombe - Rapport fait par la citoyenne Lacombe.pdf/6

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regardant avec les yeux d'an Caffard il me dit vous le voulez eh bien, fe ferai faire le rapport ce soir et demain le Maire pourra pamir cependant il ne scra plus Maire, nous l'enverrons chez lui parce que si nous l'envoyons à Toulouze le Peuple le renommerpit, Te ne puis disconvenir qu'il n'ait fait un bien infini au Peuple il a dailleurs d'excellentes qualités. mais il a trup d'nflucnce Toulouze il faut qu'il n'y retourne pas; Je laisse au lecteur a faire les Monsieur Chabot réfiéxions dont ce passage est susceptible me dit toujours en me regardant qu'il n'avoit jamais su rien refuser aux Fen m.s: Je lui répondis que j'écois bien fachée qu'il fut Homme Puplic, que je plaigrois ma Patrie puisque les Contre Révolutionnaires ayant aussi des Femmes ils ne leurs en les adressant servit pas dificile d'obtenir leurs Graces à lui. :

Voilà la vérité de ce qui s'est passé entre Monsieur Chabot et moi, il a dit qu'il avoit des témoins je me dois, de les vile Compagne désigner, en entrant chez-lui, Je vis d'abord de sa vie déréglé lofque je fus dans son sallon je vis sur un Monsieur vêtu un Canafé une Dame musquéo avec d'une rédingotte couleur de capucine ayant sur son collet un très Jarge galon d'Argent, voilà les personnes que Monsieur Chabot reut me produire.

Je continue la Séance des Jacobins Bazire dit : ... Et moi aussi, tout dhétif que vous me voyez j'ai été aux prises avec les Femmes Révolutionnaires, (on rit.) Renaudin dit ne rièz pas, ceci peut devenir plus sérieux que vous ne pensez, Bazire :. je m'explique, l'autre jour sapt à huit Femmes Révolutionnaires vinrent au Comité de sûreté générale, reclamer la Liberté d'un nommé Sémindy déteut à Sainte Pélagie qu'elles préter.doient arrêté à tort ; nous leur décarkmes qu'on préparoit une con-