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La Satire des romans du jour, 11 p. de 26 lignes chacune environ, 0m25 X 0m193 (conservé à Lyon, bibliothèque du Palais des Arts ; recueil 246, n° 50).

Poésies fugitives : Le Remède, La Résolution, Chanson, La Fauvette, Idylle. (Ont passé dans la vente de la coll. Blanchart, 1867, n° 215 du catalogue.)

L’Indépendance de l’homme de lettres, 14 pages in-4o. (Coll. Lucas de Montigny, 1860, n° 2.045.)

A Jacques Delille, le jour de sa fête, 1 p. 1/2 in-8o. (Coll. Dentu, 1887, puis coll. X…, 25 juin 1889, n° 79.)

Hermann et Thusnelda, scène lyrique, 8 p. 0m20 X 0m32. Conservé à la bibliothèque municipale d’Angers, recueil n° 528.

L’Amour vrai, 2 p. in-12. (A passé dans la vente de la coll. Laurent Veydt, 1878, n° 253.)

La Chute des feuilles, 2 p. in-8o. (Coll. anonyme 1848.)

La fleur, élégie, 2 p. 1/4 in-8o. (Coll. Saint-Aubin, 1879, n° 77.)

La Rançon d’Egille (sic) 11 p. 1/2 in-4o. (Coll. Cap… 1849, n° 802.)

Toutes les pièces ci-dessus ont été publiées par l’auteur dans ses différents recueils. Les deux qui suivent figurent pour la première fois dans l’édition posthume de 1822.

Les Regrets d’un infidèle, élégie, 3 p. 1/2 in-8o. (A passé dans la vente de la coll. Baylé, 1882, n° 131.)

Les derniers moments de Virgile, 3 p. 1/4 in-4o. (Coll. Adhémar Sazerac de Forge, 1881.)

Voici maintenant quelques poèmes ou fragments inédits :

Clovis ou la fondation de la monarchie française, plan des douze chants du poème. 23 p. in-4o avec ratures et corrections. (Coll. A. P…, 9 mars 1897, n° 161.)

la tragédie d’Antigone, dont une scène figure dans les notes de la seconde édition de l’Amour maternel. Millevoye avait envoyé cette pièce à la Comédie-Française. On a de lui plusieurs billets à l’acteur Lafon qui le prouvent (cf. Catal. de vente des autogr. de la collection Hervey, 1854, et d’une coll. anonyme, 1856). La pièce fut lue, reçue, puis retirée je ne sais pour quelles raisons. Les archives du théâtre ne la possèdent point. Le Bibliophile Jacob l’avait cherchée vainement avant moi. (Voir la préface de l’éd. de 1880, p. iv. Un appel aux lecteurs de l’Intermédiaire (10 nov. 1877) n’a donné aucun résultat.