Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/193

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coin du feu, cherchant à nous rappeler vos vers d’autrefois et brûlant de vous entendre nous les redire.

Mille sincères tendresses.

G. G [ay].


CXI. — De Mme Pauline Duchambge.

Voulez-vous me prouver que vous m’aimez encore ? Delphine me dit que vous avez fait des paroles ravissantes susceptibles d’être mises en musique. Elle ajoute même qu’elle vous a dit : « donnez lui. » Si vous m’aimez, envoyez-les-moi. Je vous jure de vous les renvoyer à l’instant, si je ne puis les mettre sous mes chants.

Je vais voir si je suis encore dans le souvenir de votre cœur. PAULINE [duchambge].


CXI. — De la comtesse d’Agoult (219).

Croissy (220) par Lagny, lundi.

J’envoie chercher chez vous, monsieur, un album (221) qui j’espère, après une aussi longue absence, aura beaucoup vu et surtout beaucoup retenu ; je serais bien heureuse que vous ou monsieur votre fils, vous ayez la bonne idée de me le rapporter à