Page:Laforgue - Œuvres complètes, t1, 1922.djvu/174

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Quand ce jeune homm’ rentra chez lui,
Quand ce jeune homm’ rentra chez lui ;
Il entendit de tristes gammes,
Qu’un piano pleurait dans la nuit !
Gammes,
Vieilles gammes,
Ensemble, enfants, nous vous cherchâmes ;
Son mari m’a fermé sa maison,
Digue dondaine, digue dondaine,
Son mari m’a fermé sa maison,
Digue dondaine, digue dondon !

Quand ce jeune homm’ rentra chez lui,
Quand ce jeune homm’ rentra chez lui ;
Il mit le nez dans sa belle âme,
Où fermentaient des tas d’ennuis !
Âme,
Ma belle âme,
Leur huile est trop sal’ pour ta flamme !
Puis, nuit partout ! lors, à quoi bon ?
Digue dondaine, digue dondaine,
Puis, nuit partout ! lors, à quoi bon ?
Digue dondaine, digue dondon !