Page:Laforgue - Œuvres complètes, t1, 1922.djvu/281

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Oh ! j’ai été frappé de cette vie à moi,
L’autre dimanche, m’en allant par une plaine !
Oh ! laissez-moi seulement reprendre haleine,
Et vous aurez un livre enfin de bonne foi.

En attendant, ayez pitié de ma misère !
Que je vous sois à tous un être bienvenu !
Et que je sois absous pour mon âme sincère,
Comme le fut Phryné pour son sincère nu.