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LETTRES 1881-1882

Votre Albert Dürer paraît dans quelques jours. Nous avons ici un libraire français. Je vais surveiller sa vitrine.

J’ai la fatuité de supposer que comme vous êtes en relations d’art très suivies avec Lippmann et qu’il n’aime pas à écrire, je pourrai parfois vous rendre un menu service. Inventez-en, vous me rendrez si heureux.

Vous me recommandez de travailler. — Vous verrez !

Adieu, je vous serre bien la main. J’ai l’intention d’aller au Musée aujourd’hui pour mon plaisir et aussi pour que l’Impératrice ne me tourmente plus là-dessus… et

Je vous quitte. Je vous récrirai un de ces jours.

Que devient P. Bourget, poète anglais et français ?

Je salue tous ceux de vos amis à qui vous m’avez présenté.

Je serre la main à M. votre frère, qui était toujours si aimable avec moi.

Je salue respectueusement madame votre mère.

Votre bien dévoué,

Jules Laforgue.