Page:Laforgue - Poésies complètes.djvu/298

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
278
derniers vers


Je me dirai : Oh ! à cette heure,
Elle est bien loin, elle pleure,
Le grand vent se lamente aussi,
Et moi je suis seul dans ma demeure,
Avec mon noble cœur tout transi,
Et sans amour et sans personne,
Car tout est misère, tout est automne,
Tout est endurci et sans merci.

Et, si je t’avais aimée ainsi,
Tu l’aurais trouvée trop bien bonne ! Merci !