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derniers vers


Oh ! si elle est dehors par ce vilain temps,
De quelles histoires trop humaines rentre-t-elle ?
Et si elle est dedans,
À ne pas pouvoir dormir par ce grand vent,
Pense-t-elle au Bonheur,
Au bonheur à tout prix
Disant : tout plutôt que mon cœur reste ainsi incompris ?

Soigne-toi, soigne-toi ! pauvre cœur aux abois.

(Langueurs, débilité, palpitations, larmes,
Oh, cette misère de vouloir être notre femme !)

Ô pays, ô famille !
Et l’âme toute tournée
D’héroïques destinées
Au delà des saintes vieilles filles,
Et pour cette année !

Nuit noire, maisons closes, grand vent,
Oh, dans un couvent, dans un couvent !

Un couvent dans ma ville natale
Douce de vingt mille âmes à peine,
Entre le lycée et la préfecture
Et vis-à-vis la cathédrale,