ce qui donne, par les lois générales de l’équilibre des fluides, l’équation dont nous parlons. Or je dis que, suivant les hypothèses de M. d’Alembert, il faut écrire au lieu de dans les expressions des forces en question. Car il est facile de voir que ces forces sont en général
savoir :
c’est-à-dire
mais
donc ces quantités deviendront
Ainsi l’on aura à la rigueur l’équation
de laquelle le temps ne disparaît que quand est proportionnel à c’est-à-dire
d’où l’on tire, comme ci-dessus,
au lieu que, selon l’équation de M. d’Alembert, cela doit arriver lorsque
ce qui donne, en intégrant,
comme cet Auteur l’a trouvé.