71. Imaginons maintenant que l’effet des forces perturbatrices consiste à faire varier les quantités et en sorte que l’orbite soit représentée par une ellipse qui change continuellement d’espace et de position ; nous aurons donc
1o et
or, puisqu’on a deux indéterminées et dont l’une peut être tout ce qu’on voudra, nous supposerons
ce qui donnera
de sorte que la variation instantanée de la latitude sera la même que si le plan de l’orbite ne changeait point de position. Donc, en mettant pour
Donc on aura, au lieu de l’équation
ces deux-ci :
par lesquelles on connaîtra le mouvement de la ligne des nœuds, et la variation de l’inclinaison de l’orbite.