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Page:Lahor - Œuvres, L’Illusion, Lemerre.djvu/188

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Aime et vis, comme un Dieu sur terre voudrait vivre,
Te penchant vers tous ceux que tu verras souffrir,
Et de lumière et d’art, de rêves toujours ivre,
Incendié d’amour, ne crains plus de mourir !