Page:Lahor - En Orient, 1907.djvu/150

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*


L’homme, inquiet du bien, ne connaît plus la paix ;
Car c’est la guerre en lui déclarée à jamais,
Sans repos ni merci, s’ aggravant d’âge en âge,
Entre la bête et l’esprit pur qui se dégage.


*


Où le repos ? Chacun des soleils par l’espace
D’un vertige éternel est lui-même emporté ;
Et ces trombes d’amour, de force et de clarté
Roulent, semant la vie où leur tourbillon passe.