Page:Lahor - En Orient, 1907.djvu/96

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


*


Le nuage sait-il la force qui le pousse,
Force terrible un jour, un autre, calme et douce ?
De vous maudit une heure, une autre heure béni,
Me connaissez-vous mieux, Moi, le Souffle infini ?