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Page:Lamarck - Histoire naturelle des animaux sans vertèbres, vol. 1.djvu/13

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en obtiennent, me paraît présenter, pour ainsi dire, les pièces justificatives de ce que j’ai publié dans ma Philosophie zoologique, et des nouveaux développemens que j’en donne ici dans l’Introduction.

Ceux qui aiment l’étude de la nature, qui s’intéressent particulièrement à celle des animaux, et qui ont beaucoup observé ces derniers, pourront rechercher, dans la considération de tous les faits que je cite à leur égard, si ce résultat de mes observations et de mes méditations est aussi fondé, aussi nécessaire qu’il me le paraît, et dans le cas de l’affirmative, ils le feront servir à l’avancement de la science, après l’avoir amélioré ou rectifié par leurs propres observations.

On sait assez combien les animaux sont intéressans à observer et à étudier ; combien, d’ailleurs, ceux qui sont sans vertèbres, sont singuliers par la diversité de