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Page:Lamarck - Histoire naturelle des animaux sans vertèbres, vol. 1.djvu/379

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l’aide d’une détermination motivée et solide de la préférence qu’il faut accorder à telle sorte de rapports sur telle autre, que l’on trouvera les principes propres à régler toutes les parties de notre distribution générale des animaux.

Il s’agit donc de déterminer les principales sortes de rapports que l’on doit employer pour atteindre le but, et ensuite de fixer la supériorité de valeur que telle sorte doit avoir sur telle autre.

Cela posé, je trouve, qu’entre différens animaux comparés, les principales sortes de rapports que l’on peut rencontrer et qu’il importe de distinguer, sont les suivantes.

*            Rapports entre des organisations comparées, prises dans l’ensemble de leurs parties.

Ces rapports, quoique généraux, se montrent dans différens degrés, selon qu’on les recherche entre des races comparées entr’elles, ou entre des masses d’animaux de différentes races, comparées les unes aux autres. Il faut donc en distinguer plusieurs sortes.

Première sorte de rapports généraux : Cette sorte est celle qui sert à rapprocher immédiatement entr’elles les races ou les espèces. Elle est nécessairement la première ; car c’est elle qui fournit le plus grand des rapports entre des animaux comparés qui