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Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 16.djvu/443

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Le navire aux mâts nus, endormi sur les flots,
À l’ombre du Liban berçait nos matelots.
Sous la vergue où le câble avait roulé les voiles,
L’hirondelle du bord en becquetait les toiles.
Le sifflet réveilla le pilote dormant,
Et le vaisseau reprit son sillage écumant.


FIN DE LA CHUTE D’UN ANGE