Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 2.djvu/151

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Et quand vous passerez près du dernier asile
Où la croix des tombeaux jette une ombre immobile,
En murmurant des morts la pieuse oraison,
N’oubliez pas au moins de prononcer son nom !
Si Dieu compte là-haut les regrets de la terre…
Mais taisons-nous : la tombe est le sceau du mystère !