Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 2.djvu/536

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
COMMENTAIRE


DE LA VINGTIÈME HARMONIE




C’est un chant ou plutôt un cri de pieux enthousiasme échappé de mon âme à Florence en 1828. C’est une des poésies de ma jeunesse qui me rappellent le plus à moi-même le modèle idéal du lyrisme, dont j’aurais voulu approcher.