Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
I
ENCORE UN HYMNE
Encore un hymne, ô ma lyre !
Un hymne pour le Seigneur,
Un hymne dans mon délire,
Un hymne dans mon bonheur !
Oh ! qui me prêtera le regard de l’aurore,
Les ailes de l’oiseau, le vol de l’aquilon ?
Pourquoi ? — Pour te trouver, toi que mon âme adore,
Toi qui n’as ni séjour, ni symbole, ni nom !