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PRÉFACE





I


Avant d’ouvrir par l’histoire de Geneviève cette série de récits et de dialogues à l’usage du peuple des villes et des campagnes, nous devons dire dans quel esprit ils ont été conçus, à quelle occasion ils ont été composés, et pourquoi nous dédions ce premier récit à mademoiselle Reine Garde, couturière et servante à Aix en Provence. Le voici :


II


J’étais allé passer une partie de l’été de 1846 dans cette Smyrne de la France qu’on appelle Marseille, ville digne