Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 5.djvu/412

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

 
Jeune voix que Dieu fit éclore
Comme un hymne au matin du jour,
Chaque âme en ce triste séjour
Pour toi fut un temple sonore
Que tu remplis de sons, de délire et d’amour.