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SOUHAITS.


Premièrement, je vous souhaite de rencontrer, dans les pays où vous placerez vos petiots enfants en nourrice, une mairesse pareille à la nôtre.

Je vous souhaite, deuxièmement, de vous mettre, par occasion, au cas de maladie, entre les mains de M. Céran. C’est un homme si avisé pour le bien !

De plus, je me vois forcé de vous remercier de vos grandes patiences à lire mes moulages, et, là-dessus, je vous défuble mon chapeau.

Votre ami,


Fructueux Cellier.