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LE VIEUX « FOURNIL »


Chantons cette maison ! Chantons ce toit béni
Que bâtirent les vieux, dans leurs bonnes années,
Ce toit, flanqué de deux immenses cheminées,
Et d’un énorme four ! Chantons le vieux « fournil ! »

Lorsque, pour éplucher les « gadèles » en grappes,
Ou le blé-d’inde qui, de bonne heure, poussait,
En « courvée », à la brune, on se réunissait,
Le « fournil » connaissait de joyeuses agapes…