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Page:Lamontagne-Beauregard - Récits et légendes, 1922.djvu/135

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maine ; rien ne peut les rassasier de la beauté de Dieu éparse sur les mers… J’aime l’animation des quais à la date des embarquements, quand les petits bateaux à voiles blanches s’envolent, gracieux comme des mouettes ou nobles comme des goélands. J’aime entendre la voix sereine des hommes du large et leur commandement que la brise emporte au loin sur les rives sauvages : « Larguez l’écoute, Père François, v’la l’vent qui tourne ! »