Page:Lamothe-Langon - Souvenirs d'un fantôme - Chroniques d'un cimetière, Tome I, 1838.djvu/127

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rencontrés, une heure et demie après, par la patrouille du guet, qui les trouva couchés dans un cloaque, où deux avaient déjà perdu la vie. Le comte de Maurand, qui respirait encore, put raconter ce qui s’était passé, et, avant le lever de l’aube, lui-même avait cessé de vivre.