culiers de ce livre (par Véron de la Forbonnais), et Idée de toutes les critiques qui en ont été faites, avec quelques Remarques de l’éditeur. — L’Idée de toutes les critiques comprend 9 opuscules : 1° L’Esprit des Lois quintessencié par une suite de (27) lettres analytiques, par l’abbé de Bonnaire ; 2° Observations sur l’Esprit des Lois ou l’Art de lire ce livre, par l’abbé de La Porte (impr. en 1751) ; 3° Apologie de l’Esprit des Lois ou Réponse aux Observations, par M. Boullenger de Xivrey (impr. en 1751) ; 4° Réponse aux Observations…, par M. Risteau, négociant ; 5° Examen critique de l’Esprit des Lois, extrait des Nouvelles ecclésiastiques du 9 et du 16 octobre 1749 ; 6° Défense de l’Esprit des Lois, par Montesquieu ; 7° Réponse à la Défense, extrait des Nouvelles ecclésiastiques du 24 avril et du 1er mai ; 8° Suite de la Défense… ou Examen de la réplique du Gazetier ecclésiastique, par La Beaumelle (impr. à Berlin, 1751) ; 9° Cinq lettres, attribuées à La Beaumelle.
10214. J. Fontaine de La Roche. Critique de l’Esprit des Lois, Genève, 1753.
10215. Cl. Dupin. Observations sur un livre intitulé De l’Esprit des Lois, en ce qui concerne le commerce et les finances (avec les PP. Plesse et Berthier ; préface de Mme Dupin), 1757-1758, 3 v. in-8.
10216. — Réflexions sur quelques parties d’un livre intitulé De l’Esprit des Lois, 1749, 2 v. in-8.
10217. Ant. Pecquet. Analyse raisonnée de l’Esprit des Lois, 1758, in-12.
10218. (Elie Luzac). Remarques philosophiques et politiques d’un anonyme, dans l’éd. de 1759 de l’Esprit des Lois.
10219. Crevier. Observations sur l’Esprit des Lois, 1763, in-12.
10220. Abbé Mignot de Bussy. Lettres sur l’Origine de la noblesse française et sur les manières dont elle s’est conservée jusqu’à nos jours (contre Boulainvilliers et Montesquieu), 1763, in-12. — (Réfuté en 1766 par le vicomte Alès de Corbet).
10221. Linguet. Théorie des lois civiles ou Principes fondamentaux de la société (n° 11829).
10222. Chaudon. Dictionnaire Antiphilosophique (n° 11601). Article : Montesquieu, avec une Lettre de P. Routh à la fin de l’ouvrage.
