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Page:Lanterne magique nouvelle, 1820.djvu/25

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portée. Le Maître de poſte eſt aſſez libertin et ivre pour éclairer de ſang-froid ce qui ſe paſſe ſi fort à ſon préjudice, il y unit ſon intention, et tout, ſur ce pied, ſe conſomme le plus gaiement du monde. On voit, dans le fond, le poſtillon qui doit courir, le faire d’avance ſur la paille, avec la ſervante ſa fiancée. Pareil impromptu d’écurie en bien d’autres parties, ſi préparées, ſi cheres, et ſouvent ſi périlleuſes, même ſous des lambris dorés.

FIN.