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SUR L’ÉQUATION SÉCULAIRE DE LA LUNE.
de l’expression de ne peut donner aucune équation séculaire dans le mouvement de la Lune ; en n’ayant donc égard qu’aux équations de ce genre, ce terme se réduit à
V.
Examinons présentement les autres termes de l’expression de cette expression renferme encore le terme qui, par son double signe intégral, paraît très propre à donner des inégalités séculaires. On a, par ce qui précède, en n’ayant égard qu’aux termes à très peu près constants,
la caractéristique du second membre de cette équation ne se rapportant qu’aux quantités et relatives à la Lune. Les deux premières de ces quantités sont constantes, mais les deux autres sont variables, ce qui donne
Si l’on substitue, au lieu de et de leurs valeurs trouvées dans l’article précédent, on aura
On sait que les valeurs de et de ont cette forme
étant des coefficients extrêmement petits ; la différentielle