pour le retard journalier moyen. Les observations anciennes m’ont donné, dans le Livre IV de la Mécanique céleste,
pour ce retard, ce qui s’accorde aussi bien qu’on peut le désirer.
Les observations précédentes donnent pour l’heure de la basse mer du matin du jour qui suit la syzygie. L’heure de la basse mer du matin du jour de la syzygie est donc Dans ces observations, la syzygie a précédé la haute mer du soir de elle a donc suivi la basse mer du matin de De là il est facile de conclure que, si la syzygie arrivait au moment de la basse mer du matin, l’heure de cette basse mer serait Il résulte du no 35 du Livre IV de la Mécanique céleste que, par les observations anciennes, cette heure est La différence me paraît tenir à ce que la méridienne dont on fit usage dans ces observations n’était point exacte. Elle était d’abord en erreur de On corrigea cette erreur ; mais il y a lieu de croire qu’on en laisse subsister une partie, ce qui va être confirmé par les observations des quadratures.
L’ensemble des observations précédentes donne pour le retard journalier des marées quadratures. Les observations anciennes m’avaient donné, pour ce retard, ce qui s’accorde à très peu près. Les observations précédentes donnent pour l’heure de la basse mer du jour qui suit la quadrature, ce qui donne pour l’heure de la basse mer du soir du jour de la quadrature. La haute mer du matin de ce jour a précédé, par le no 6, la quadrature de et elle a précédé la basse mer du soir de
La quadrature a donc précédé la basse mer du soir de De là il est facile de conclure que l’heure de cette basse mer serait si elle coïncidait avec la quadrature. Dans les observations anciennes, cette même heure était La différence est au lieu de que donnent les observations anciennes. Il n’est donc pas dou-