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Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 12.djvu/551

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temps à monter qu’à descendre. Les observations anciennes m’avaient paru indiquer le temps de l’ascension un peu plus petit que celui de la desconte ; mais il paraît que cela tient aux erreurs des observations anciennes.

L’heure moyenne de la haute mer du soir qui suit la syzygie a été, dans les observations précédentes, 0^\mathrm j{,}68362. En lui ajoutant un demi-jour, plus un demi-retard journalier des marées syzygies, retard égal à on aura pour l’heure de la haute mer du matin du second jour qui suit la syzygie. La haute mer du soir du jour de la syzygie a suivi, dans ces observations, la syzygie de la haute mer du matin du second jour après la syzygie a donc suivi la syzygie de ou de

En nommant l’intervalle dont le maximum des hautes mers suit la syzygie, on aura l’instant de ce maximum, en ajoutant à l’heure de la haute mer du matin du second jour après la syzygie la quantité Cette heure est donc

L’heure de la basse mer du jour qui suit la quadrature a été, dans les observations précédentes, En lui ajoutant

on aura pour l’heure de la basse mer du matin du second jour après la quadrature. La haute mer du matin du jour de la quadrature a précédé de la quadrature dans les observations précédentes ; elle a donc suivi la basse mer du soir de En lui ajoutant

on aura pour le temps dont la quadrature a précédé la basse mer du matin du second jour après la quadrature. Pour avoir l’heure de cette basse mer, lorsqu’elle correspond au maximum des basses mers quadratures, il faut lui ajouter