Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 13.djvu/248

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l’unité ; si l’on substitue pour et si l’on observe qu’en n’ayant égard qu’aux variations séculaires on doit supposer nul, les équations (3), (4), (5) et (6) donneront les suivantes :

où l’on ne doit considérer dans une première approximation que la partie constante de et dépendant de et Cela posé, si l’on développe l’expression de du no 46 du second Livre, et si l’on désigne par la fonction

étant la partie indépendante de dans le développement de suivant les cosinus de de ses multiples ; étant le coefficient de dans ce développement et désignant la somme de tous les produits des quantités multipliées deux à deux, on aura les équations suivantes :